SINGAPOUR (31.12.2012) : Série Oiseaux

   

Série Oiseaux:

Dans le cadre de  » l’Exposition  Mondiale de Timbres  » qui s’est déroulée en 2015, la Poste de SINGAPOUR  a émis une série de 02 timbres ayant pour thèmes les oiseaux  de valeur faciale  2$ chacun et un bloc feuillet  ou sont représentés ces 02 timbres mais dont la valeur faciale est de 5$ chacun.

Pygargue blagre

Haliaeetus leucogasterWhite-bellied Sea Eagle

Description identification

Indications subspécifiques espèce monotypique

Noms étrangers

  • White-bellied Sea Eagle,
  • Pigargo Oriental,
  • Águia-marinha-de-barriga-branca,
  • Weißbauch-Seeadler,
  • fehérhasú rétisas,
  • Белобрюхий орлан,
  • 白腹海雕,
  • Witbuikzeearend,
  • Aquila pescatrice panciabianca,
  • Vitbukad havsörn,
  • Hvitbukhavørn,
  • bielik białobrzuchy,
  • orliak bielobruchý,
  • orel bělobřichý,
  • Hvidbrystet Havørn,
  • valkomerikotka,
  • ,
  • シロハラウミワシ,

Voix chant et cris

Le pygarge blagre est particulièrement bruyant, notamment à l’aube et en soirée. Parmi ses cris répertoriés , on note un puissant et nasal ‘ah-ah-ah’ ou une série d’appels rythmés émis en duo, la tête pointée vers le ciel et qui résonne un peu comme le cri d’une oie. On peut aussi entendre une sorte de cancannement de canard ‘qua-qua-qua’.

 Habitat
Les pygargues blagres sont communs sur le littoral, le long des zones côtières et dans les îles. Ils forment des couples permanents qui occupent leur territoire pendant toute l’année. On les aperçoit normalement perchés à la cime des arbres ou planant au-dessus des cours d’eau et des régions qui les bordent. Ils s’enfoncent un peu plus loin à l’intérieur du pays lorsque celui est constitué par des paysages ouverts. Quand l’arrière-pays est couvert de forêts, comme c’est le cas à Bornéo, ils ne pénètrent guère de plus de 20 kilomètres en suivant les rivières. En plus de l’Australie et de la Tasmanie, l’aire de distribution du pygargue blagre s’étend à la Nouvelle-Guinée, l’archipel Bismark, l’Indonésie, la Chine, le sud-est asiatique, l’Inde et le Sri Lanka.

Comportement traits de caractère

Le pygargue blagre passe la majorité du jour à planer, ou à se percher dans les arbres et sur les rochers situés à proximité de la rivière où il pêche. Le territoire de chasse d’un couple est assez réduit, et le prédateur a tendance à utiliser les mêmes perchoirs favoris, jours après jours. Il chasse souvent à l’affût, mais il lui arrive également de plonger après un long vol plané qui l’aide à repérer sa victime. Dans ce dernier cas, le plongeon provoque un éclaboussement assez impressionnant . Le pygargue blagre marque un goût très prononcé pour les serpents de mer qui remontent à la surface pour respirer. Cette pratique courante tend à prouver que sa technique de pêche, surtout lorsqu’elle est effectuée d’une grande hauteur, est particulièrement précise et affûtée.

Alimentation mode et régime

Les pygargues blagres se nourissent principalement d’animaux aquatiques tels que les poissons, les tortues et les serpents de mer. Toutefois, ils capturent également des oiseaux et des mammifères terrestres. Ce sont des chasseurs très adroits, très habiles, capables de s’emparer de proies allant jusqu’à la taille d’un cygne. Ils consomment aussi des charognes, notamment des carcasses d’agneaux ou des dépouilles de poissons morts gisant sur les rivages. Il se livrent également au cleptoparasitage, harassant d’autres oiseaux pour les obliger à relacher ou à dégorger les ressources qu’ils transportent. Les pygargues blagres recherchent leur nourriture seuls, en couples ou en petits groupes familiaux.

Reproduction nidification

Ces pygargues bâtissent un grand nid de branches qu’ils réutilisent en les rénovant pendant de longues saisons consécutives. Le nid peut être situé dans un grand arbre jusqu’à 30 mètres au-dessus du sol. Cependant, il peut aussi être placé sur le sol ou dans des rochers lorsque l’oiseau ne trouve pas d’arbre qui lui convienne. Au début de la saison de nidification (qui intervient de mai à octobre), le nid est garni de feuilles vertes fraiches et de brindilles. La femelle pond 2 ou 3 oeufs dont l’incubation dure aux alentours de 50 jours. Elle prend en charge la plus grande partie de la couvaison. Néanmoins, le mâle assure un relais de temps à autre. L’éducation des jeunes dure jusqu’à leur envol qui intervient approximativement entre 65 et 70 jours après l’éclosion. Ces derniers ne sont totalement autonomes que lorsqu’ils ont atteint l’âge de six mois.

Distribution

Distribution

Iconographie

plus de photos

Références utilisées

Autres références utiles

 

Souimanga à dos vert

Cinnyris jugularisOlive-backed Sunbird

Souimanga à dos vert. Famille des Nectariniidés. Ordre : Passériformes

Description identification

Le Souimanga à dos vert (Cinnyris jugularis) est une espèce de passereaux de la famille des nectariniidés.

Ce souimanga est un petit oiseau de 12 cm de longueur au plus. Chez le mâle et la femelle, le ventre est d’un jaune voyant, le dos vert olive, beaucoup plus discret. Chez le mâle, le front, le cou et la partie supérieure du ventre est d’un bleu foncé métallique.

Alimentation

Les souimangas se nourrissent essentiellement de nectar mais ils peuvent aussi se nourrir d’insectes, surtout lorsqu’ils sont jeunes. Leurs ailes, courtes, leur permettent d’avoir un vol rapide en ligne droite. Ils peuvent se nourrir de nectar en vol, comme les oiseaux mouches mais généralement ils préfèrent se percher.

Distribution

Distribution

Reproduction

Ils sont généralement monogames. La reproduction a lieu d’avril a août dans un nid suspendu. La femelle pond deux œufs qu’elle couve seule. Le mâle participe à la nourriture des petits.

Sous-espèces